Bataille intense avec une énorme puissance de feu des deux côtés! Magnifique scénario avec énormément d'unités spéciales des deux côtés. Nous avons joué avec le New Flight Plan et avec la variante des chars Hobart pour les 4 unités blindés du génie alliés.
Après de rudes combats à St-Aubin et WN28, les alliés ont réussi à décimer la ligne de défense allemande grâce à l'infanterie, le destroyer et un Bombardier. Ils se sont approchés tout près de l'église de Bernières et la dernière unité présente dans l'église a capitulée.
Au centre, les allemands ont tenus la ligne de défense à Courselles, malgré la perte du canon 88 dès le premier tour de jeu à cause d'une carte tir de Barrage.
Sur le flanc droit, les alliés étaient en surnombre et ont réussi à progresser tout près de Graye, sans réussie à s'emparer de la ville.
Partie très serrée qui aurait pu aller d'un côté comme de l'autre. Beaucoup d'action du début à la fin et de rudes combats intenses!
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Les alliés se protège comme il se doit derrière les murs brise lame, s'en suit un déluge de feu des 2 coté.. malheureusement les allemands sont un peu plus chanceux aux dés malgrès leur canon 88 qui a été dégommé au 2eme tour...
Les chars alliés se sont vite retrouvé bloqué sur la plage notamment sur la section gauche, et on a trouvé que les chars ne servaient à rien sur ce scénario à part donner un peu plus de médailles aux alliés (ils ont toujours tirer à un dés car il y a assez de protection pour les allemands pour qu'il ne se retrouve pas sans terrain défensifs).
Nous n'avons pas compris quel est l'interet pour les Char AVRE d'enlever le mur brise lame??
Petite hésitation aussi sur les deux marqueurs antichar en dessous des 3 fossé antichar à gauche.. sont t'ils aussi des fossés antichars ou vraiment des pieux anti chars dans le 2eme les chars débarquer se retrouve bloquer entre les pieux anti char et les bunkers...
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This was a very difficult challenge for the Canadians from the very beginning. Guns from all along the German front continually bombed them even before they were able to reach the beach. Fighting occurred along the entire landscape, as Allied tanks attempted to negotiate the hedgehogs and other troops once on the beach.
Efforts were made to silence the front line guns and this was eventually accomplished - however, not without cost to the Canadians. The battleships did a good job of contributing to the elimination of the German artillery, but it just wasn't enough.
La Rive, along the Canadian left was eventually taken and controlled, but the cost was great and resulted in very little left among the German or Canadians in that sector. An attempt was made for control of the town in the center section. However, it was highly defended and hard fought. With no success "up the gut", the last push occurred along the right flank. At times it seemed like this would be enough, but, again, the Germans countered and inflicted high casualties.
How the Allies secured this beachhead in history is a wonder, as this scenario proved that a lot of luck of needed for the Allies to win this fight!
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Débarquement en force dans les trois sections de façon à détruire le maximum de canons antichars dès le début : un seul détruit. Riposte sanglante des Allemands sur tout le front. Le canon antichar de Saint-Aubin survivra à toutes les attaques. A chaque tour, les Allemands engrangent des points de victoire en massacrant particulièrement les blindés, alors que les Canadiens restent cloués sur la plage surpeuplée. Au centre, tentative de percée à travers les marais, idem à droite où le château de Vaux tombe aux mains des Canadiens. Un tir de mortier allemand réussi sur une unité d'infanterie décimée met fin à la partie.
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Les Canadiens commencent d'abord par détruire les canons antichars qui les prennent sous leur feu. Les fantassins s'abritent derrière la digue tandis que les chars alliés subissent une véritable hécatombe. L'appui aérien de chaque camp ne donne pas beaucoup de résultats, par contre l'artillerie mobile est plus efficace mais une unité sur deux ne survivra pas. Les derniers points de résistance allemands sont Bernières, Courseulles et Graye-sur-Mer. La victoire sera arrachée par une unité AVRE qui vient écraser les derniers mortiers qui retraitaient de Bernières.
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